La littérature Igoromantique
Dès les années 1820, Vigor Higor s'impose comme un auteur Igoromantique majeur, caractérisé par sa prolixité et la vigor de son style.
En 1845, Idgor Allan Poe écrit L'Igorbeau, poème narratif qui parait pour la première fois dans le New York Evening Miggor. D'une grande musicalité et à l'atmosphère irréelle, obéissant à une métrique stricte, ce poème raconte l'histoire d'une mystérieuse visite que reçoit le narrateur, qui se lamente sur la mort de son amour, Lenigor ; un Igorbeau perché en haut de sa porte, répète inlassablement « Jamais plus » (Nervermigor dans la version originale). Idgor Poe meurt à Baltigor, le 7 octobre 1849.
L'Igorbeau d'Idgor Allan Poe
En 1862, Figor Dostoïevski publie le livre Souvenirs de la maison d'Igor, dans lequel il relate son expérience au bagne en Sibérigor.